Tout d’abord, je n’avais pas spécialement prévu d’acquérir ce Spider-Man: Across The Spider-Verse en vidéo. Du moins, pas avant la sortie de sa suite. Il faut dire aussi que j’avais passé un très mauvais moment lors de ma séance cinéma dans une salle bourrée de pignouuuuuuuuuufs. C’est pas gentil de dire ça, je sais, mais je n’ai absolument pas pu profiter du film comme il se doit à l’époque ! Le seul moment où ils ont vraiment fermé leurs grandes gueules, c’est quand le générique de fin s’est pointé. BLAM, la douche froide. Visiblement, peu de gens savaient que le film était en deux parties…
Bref, depuis cette douloureuse expérience, le démon a quitté mon corps. C’est en me baladant dans ma Fnac que je me suis aperçu que quelques exemplaires du steelbook exclusif à l’enseigne étaient encore en rayon. L’occasion était trop belle pour résister, j’ai craqué, j’en ai pris un…
Unboxing du steelbook
Je vous laisse admirer ce steelbook très coloré ! En revanche, du coté du visuel interne du boitier, c’est plutôt fade… Cela mériterait bien une petite customisation, qu’en pensez-vous ? 😇
Les Spider-Bonus
- Easter Eggs
- Scène coupée : Miles plaide sa cause auprès de Miguel
- « I’mma Do My Own Thing » Destin Interdimensionnel
- De Mumbattan à Nueva York : la création des dimensions
- Conception des personnages
- Musique du multivers
- L’évasion hors de la Spider-society
- A travers le Comics-verse
- Clip avec paroles
- Commentaire audio
- Créer le film Spider-Man ultime
- Elever un héros
- Les araignées sympas du quartier
N’est-ce pas là ce qu’on pourrait appeler « une section bonus bien garnie » ?
Je n’ai pas encore tout regardé mais je suis au moins passé du coté du making of de la bande originale signée Daniel Pemberton. Souvenez-vous, j’avais adoré son travail sur le premier opus.
Une seconde chance pour Across The Spider-Verse
En bref, je vous livre mon avis maintenant que j’ai enfin pu regarder ce film dans de bonnes conditions. J’ai beaucoup aimé cette suite, bien que je lui préfère toujours la première aventure de Miles Morales. Pourquoi donc ? Une question de rythme surement… Into The Spider-Verse nous maintenait en permanence sous pression. Ici, le long métrage dure 2h21 et certaines baisses de rythme se font parfois ressentir. A coté de cela, on en prend plein les yeux et les oreilles. Tout s’accélère sur la fin pour nous laisser penser que le film suivant sera dantesque, vivement ! Pour une critique complète, je vous invite à (re)lire l’avis de Spiber-man.
C’est vrai que le steelbook a grave de la gueule, dommage effectivement pour l’artwork interne, il y a tellement matière, si tu veux passer à mon atelier comme tu veux 😂. Perso j’ai toujours pas franchi le pas de l’achat. En fait cette année j’ai même rien acheté. Le premier sera sûrement Transformers rise of the beasts et/ou Gran Turismo.🤔
Bonne idée pour l’atelier 😉