Transformers: Rise of the beasts, avis Autobots

Transformers: Rise of the beasts

Réalisateur : Steven Caple Jr
Acteurs : Anthony Ramos, Dominique Fishback, Peter Cullen (Optimus Prime), Ron Perlman (Optimus Primal)…
Sortie cinéma : 7 juin 2023

Transformers: Rise of the beasts : synopsis officiel

Une guerre ancestrale oppose les Maximals aux Terrorcons pour récupérer la clé de transdistortion ouvrant le portail des univers. Ce qui permettra à Unicron de dévorer toutes les planètes qu’il veut. Heureusement, les Maximals s’échappent avec cette fameuse clé. L’histoire débute alors dans le New York de 1994, où les Autobots se sont cachés, attendant de rentrer sur leur planète Cybertron.

S’unir ou périr

Dans ce 7ème opus, les Autobots vont devoir s’unir aux Maximals, nouveaux arrivants, face aux terribles Terrorcons. Point de Decepticons dans ce nouvel épisode, le terrible Skurge remplace ainsi au pied levé l’éternel ennemi d’Optimus Prime, Megatron. C’est le fidèle despote d’Unicron, (le Galactus des Transformers : il mange des planètes, tout pareil) très impressionnant visuellement ! Mirage apparaît enfin dans un film Transformers. Ces illusions sont toujours aussi fantastiques et ludiques donnant lieu à de très bons effets visuels. Quant à Bumblebee, il s’efface face à tous ces Maximals, mais nous promet de belles séquences, que l’on peut d’ailleurs voir dans la bande annonce.

Maximals vs Terrorcons

Les Maximals tout comme les Terrorcons viennent de la série animée les Animutants. Si l’on peut croire que les Maximals ne sont que de simples animaux robotisés et qu’ils ne peuvent pas se transformer, attendez de voir le combat final. Il faut voir Cheetor le guépard se battre avec sa lance. Même si Optimus Primal, avec sa forme simiesque, marche déjà, il se transforme aussi ! Quant aux Terrorcons (Nightbird et Transit), emmenés par le puissant Skurge, ils se transforment comme les Autobots en véhicules. D’ailleurs Skurge se transforme en gros semi remorque digne d’un Madmax. Les effets visuels, loin de la bouillie numérique des premiers opus, sont toujours aussi lisibles depuis le spin off sur Bumblebee.

Et les humains dans tout ça ?

Les humains sont absolument normaux, nullement niais, contrairement à la plupart des films Transformers. Aucune vanne hasardeuse ou situation grotesque de la part des protagonistes humains, ne sont citées. Elena, l’archéologue et Noah Diaz, le soldat en recherche de boulot pour aider son frère malade, sont vraiment bien interprétés et ne surjouent jamais. Finalement, la seule vanne, drôle au passage, c’est Mirage qui la dit lorsqu’il remet une arme à Noah (« Et ne me demande pas de quelle partie de mon corps, cela vient ! »).

Mc Solaar interprète le morceau phare du film, Tout se transforme. Il vient compléter la très chouette ost de Jongnic Bontemps, relativement assez épique dans ses notes.

Transformers : Rise of the beasts, avis Autobots

Vous l’aurez compris, si je n’avais pas aimé, j’aurais mis Avis Decepticons. Or là, j’ai mis Autobots, ce qui veut dire que j’ai vraiment bien apprécié ma séance. Les effets spéciaux, tout comme les différentes scènes d’action, sont dantesques. Unicron, représente vraiment un danger imminent très palpable lorsqu’il commence à dévorer. Et attendez de voir la scène de fin qui conclut sur un univers partagé annonçant un immense multivers ! De plus, nous sommes gratifiés d’une scène cachée,dans le générique, officiant d’épilogue à cet épisode et qui fait bien plaisir… Je vous laisse découvrir la surprise !

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