Le 8 octobre dernier, la Nintendo Switch Oled a été lancée sur le marché !
Contrairement à ce que de nombreux fans de la première heure espéraient, cette dernière itération de la machine ne révolutionne pas son concept. Point de version « Pro » plus puissante par exemple. Néanmoins, pour qui n’a encore jamais possédé de Switch (comme moi), ce nouveau modèle Oled s’avère très sympa. Je ne vais pas vous faire la « BIOGRAPHIE ! » complète de la bête, vous trouverez toutes les infos sur le sujet un peu partout sur les sites spécialisés et évidemment sur le site du constructeur. Je vais plutôt vous raconter brièvement pourquoi j’ai finalement franchi le pas maintenant.
Switch Oled : 30 ans après, retour inattendu chez Nintendo
Autrefois, ma première console de jeux vidéo était une NES, Nintendo Entertainement System. Ah c’était le bon temps, l’insouciance de l’enfance ! Entre cette époque et maintenant, je me suis essentiellement tourné du coté de Sony avec les Playstation 1 à 4 et la PSP. Mais pourquoi ce revirement de situation si soudain ?
Voilà quelques temps déjà que j’étais intrigué par la Nintendo Switch… cette dernière fleurissant un peu partout dans mon entourage et certaines exclusivités me faisant du pied (non, je ne parle pas d’un certain plombier moustachu). J’ajoute à cela une certaines envie de jouer différemment, j’entends par là de retrouver le plaisir de jouer sans être parasité par la chasse aux trophées (comme ça au hasard hein).
Esthétiquement, c’est le modèle noir et blanc qui m’a tout de suite tapé dans l’œil, c’était lui ou rien à vrai dire. Il m’a rappelé au bon souvenir de ma PSP blanche (Denise si tu nous regardes, ta batterie est MORTE !).
Déballage imminent : c’est de toute beauté !
Petite parenthèse originale : au cours de ma première partie de Metroid Dread, j’ai testé la fonction permettant d’envoyer une capture d’écran sur un smartphone via un scan de QR Code, pourquoi pas ?
Sinon, le jeu en lui même a l’air très sympa. Ce labyrinthe géant devient vite très addictif. A ce jour j’y ai principalement joué sur ma télévision (les photos en mode nomade étaient juste à vocation illustrative). Il ne me reste plus qu’à m’habituer à la manette de la console car je suis un peu perdu pour le moment.
Et puisqu’on parle de Metroid Dread, la transition est toute trouvée pour aborder l’unboxing de sa version collector…
Metroid Dread : l’édition spéciale
Pour conclure donc, un petit mot sur « l’édition spéciale » de Metroid Dread, acquise par Dr Manhattan (faute d’avoir eu connaissance de cette version, j’ai pris la classique).
Le coffret, vendu aux alentours de 90€, contient un sublime steelbook accompagné d’un artbook de 190 pages et de 5 cartes holographiques. Admirez !
Ah oui ah oui tiens tu as enfin franchi le pas, tu fais des infidélités à PlayStation.
Parasité par la chasse aux trophées, ah quand même, pour moi ça rajoute un plus aux jeux, mais bon les goûts et les couleuvres, c’est dur à avalée pour tout le monde lol.
Bon maintenant plus qu’à te procurer Bayonetta 2 & 3, MissTiph pourra aussi te prêter Zelda si ça t’intéresse, as you like.
En tout cas ravi pour toi. XD
Manque plus que la Xboite :p
Ça c’est sûr avec plaisir à mon avis tu ne risques pas d’être déçu vu le choix plus que conséquent que tu as à ta disposition maintenant 😉
Welcome! Oui, j’ai déjà repéré quelques titres déjà sortis ou à venir qui pourraient m’intéresser 😉